Ablattaria laevigata (Fabricius, 1775)
Classe :
Hexapoda
Ordre :
Coleoptera
Famille :
Silphidae
Sous-Famille :
Silphinae
Genre :
Ablattaria
Chargement...
- 7 observations
-
4
communes -
5
observateurs -
Première observation
2017 -
Dernière observation
2024
Arles - Saint-Andiol - Saint-Chamas - Velaux
Blasco André
-
Brook Shamgar
-
Leblanc Olivier
-
Louvel Thiery
-
Mollard Vincent
Informations espèce
Taille
11-16 mm.
Diagnose
Entièrement noir, parfois les élytres sont brun foncés. Ovale relativement aplati (peu convexe), en forme de bouclier. Les élytres sont ponctuées et lisses : elles ne présentent pas de trace de carène longitudinales. Bords latéraux en gouttières larges et relevées. Tête allongée en museau, deux fois plus longue que large.
Détermination
Facile
Confusion possibles :
Cette espèce ne peut être confondue principalement qu’avec Silpha tyrolensis Laicharting, 1781, une espèce des prairies d’altitude et Silpha obscura Linnaeus, 1758 qui ont les élytres presque lisses, sans lignes longitudinales de carènes. Ablattaria laevigata (Fabricius, 1775) s’en distingue toutefois assez facilement avec sa tête très allongée, alors qu’elle est aussi longue, voire moins longue, que large chez les Silpha. En France métropolitaine, une seule autre espèce de Silphe : Phosphuga atrata (Linnaeus, 1758) a la tête aussi allongée, mais ses élytres présentent neuf fortes carènes longitudinales.
Périodes d’observation
Actif du printemps à l’été, parfois en automne.
Biologie - éthologie
Cette espèce est prédatrice. Elle se nourrit de proies vivantes, principalement de mollusques comme en atteste la forme allongée de sa tête, adaptée à aller chercher loin dans les coquilles d’escargot. On la rencontre depuis les bords de mer jusqu’à près de 1800 mètres, où elle est écologiquement supplantée par une espèce proche : Silpha tyrolensis Laicharting, 1781.
Biogéographie et écologie
L’espèce est relativement commune dans la moitié sud de la France métropolitaine, elle devient plus rare au nord mais est connue sur l’ensemble du territoire métropolitain.
11-16 mm.
Diagnose
Entièrement noir, parfois les élytres sont brun foncés. Ovale relativement aplati (peu convexe), en forme de bouclier. Les élytres sont ponctuées et lisses : elles ne présentent pas de trace de carène longitudinales. Bords latéraux en gouttières larges et relevées. Tête allongée en museau, deux fois plus longue que large.
Détermination
Facile
Confusion possibles :
Cette espèce ne peut être confondue principalement qu’avec Silpha tyrolensis Laicharting, 1781, une espèce des prairies d’altitude et Silpha obscura Linnaeus, 1758 qui ont les élytres presque lisses, sans lignes longitudinales de carènes. Ablattaria laevigata (Fabricius, 1775) s’en distingue toutefois assez facilement avec sa tête très allongée, alors qu’elle est aussi longue, voire moins longue, que large chez les Silpha. En France métropolitaine, une seule autre espèce de Silphe : Phosphuga atrata (Linnaeus, 1758) a la tête aussi allongée, mais ses élytres présentent neuf fortes carènes longitudinales.
Périodes d’observation
Actif du printemps à l’été, parfois en automne.
Biologie - éthologie
Cette espèce est prédatrice. Elle se nourrit de proies vivantes, principalement de mollusques comme en atteste la forme allongée de sa tête, adaptée à aller chercher loin dans les coquilles d’escargot. On la rencontre depuis les bords de mer jusqu’à près de 1800 mètres, où elle est écologiquement supplantée par une espèce proche : Silpha tyrolensis Laicharting, 1781.
Biogéographie et écologie
L’espèce est relativement commune dans la moitié sud de la France métropolitaine, elle devient plus rare au nord mais est connue sur l’ensemble du territoire métropolitain.
Sources
Debreuil, M. 2004. Contribution à la connaissance de la famille
des Silphidae Latreille, 1807 (Coleoptera Staphylinioidea). Troisième
partie. Rutilans, 7(1): 17-24.
Non renseigné pour le moment
Non renseigné pour le moment
Ablattaria costulata Portevin, 1926
|
Ablattaria distinguenda Portevin, 1926
|
Ablattaria meridionalis Ganglbauer, 1899
|
Ablattaria punctata Portevin, 1926
|
Silpha gibba Brullé, 1832
|
Silpha laevigata Fabricius, 1775
|
Silpha polita Sulzer, 1776