Grand collier argenté (Le)

Boloria euphrosyne (Linnaeus, 1758)

Classe : Hexapoda Ordre : Lepidoptera Famille : Nymphalidae Sous-Famille : Heliconiinae Tribu : Argynnini Genre : Boloria
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  • Première observation
    2000

  • Dernière observation
    2023
Barrera Gael - Barthélemy Eric - Bernier Christophe - Blanchon Yoann - Caborderie Lucie - Charpin Magali - Corentin Yves - Coulet Bruno - Cretin Sylvain - Darrey Sylvain - De Montgolfier Matthieu - Delorme (rognes) Christine - Devaud Jean François - Dumont Jerome - Ellie Aline - Fouchard Marion - François - Gres Jean-marie - Höhener Patrick - Jardin Jean-luc - Larguier Julie - Magnier Matthias - Müller Emilie - Nicolle Xavier - Olivier Jonquet - Ottevaere Sébastien - Roguet Véronique - Seguinel Louise - Spaeth Estelle - Tomei Nicolas - Wauthier Morgane - Zorzi Aurélien

Informations espèce

Taille :

Adulte : 40 - 50 mm

Diagnose :

Papillon de taille moyenne de couleur orange fauve vif avec des taches noires sur le dessus. Le bout de l’aile postérieure est légèrement anguleux. Le dessous de l’aile postérieure est fauve rougeâtre avec une bande discale jaune et une seule grande tache nacrée au milieu. La chenille est noire avec des épines noires souvent jaune à la base.

Détermination :

L'adulte est moyennement difficile à reconnaître.

Espèces proches :

Il peut être confondu avec les autres Boloria. Les motifs du revers de l’aile postérieure permettent de les distinguer.

Période d’observation :

L’adulte est visible d’avril à juin.

Biologie-éthologie :

Le Grand Collier argenté réalise un cycle unique par an. La chenille se développe sur différentes espèces de Violettes, en particulier la Violette hérissée (Viola hirta) et la Violette des bois (Viola reichenbachiana). La femelle pond les œufs un par un sur les feuilles et la tige de la plante hôte mais également sur d’autres plantes basses à proximité.

Biogéographie et écologie :

Le Grand Collier argenté est présent de l’Espagne à la Scandinavie et de l’Irlande à la Sibérie. On le trouve dans les prairies, les landes, les tourbières et les lisières de forêts. En France, il vole du niveau de la mer jusqu’à 2500 m d’altitude.

D’après

Bellmann, H. (trad. Luquet, G.), 2013. Quel est donc ce papillon ? Les guides Nathan. Paris. 449 p.

Doux Y., Gibeaux C., 2007. Les papillons de jour d’Île-de-France et de l’Oise. Biotope, Mèze. Muséum national d’Histoire naturelle, Paris. 288 p.

Lafranchis, T., Jutzeler, D., Guilloson, J.-Y., Kan, P., Kan, B. 2015. La vie des papillons. Editions Diatheo. Montpellier. 751 pp.

Lafranchis, T. 2016. Papillons de France. Editions Diatheo. Montpellier. 351 pp.



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Argynnis euphrosyne (Linnaeus, 1758) | Brenthis euphrosyne (Linnaeus, 1758) | Clossiana euphrosyne (Linnaeus, 1758) | Clossiana euphrosyne austreminens Verity, 1950 | Papilio euphrosyne Linnaeus, 1758 | Papilio fingal Herbst, 1800

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