Neottiglossa lineolata (Mulsant & Rey, 1852)
Classe :
Hexapoda
Ordre :
Hemiptera
Famille :
Pentatomidae
Sous-Famille :
Pentatominae
Genre :
Neottiglossa
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- 16 observations
-
4
communes -
3
observateurs -
Première observation
2020 -
Dernière observation
2023
Brook Shamgar
-
Louvel Thiery
-
Thevenin Simon
Informations espèce
Taille : 4,5 – 6,2 mm
Diagnose :
Petite punaise foncée et brunâtre à la tête aussi longue que large recourbée en avant. Antennes dont l’article II dépasse l’apex du clypéus (nez). Une fine ligne longitudinale centrale plus claire traverse le pronotum et s’étend sur le scutellum, mais n’est pas ceinturée de noir. Une tache noire diffuse est présente à l’extrémité de son scutellum. Scutellum qui ne dépasse pas la longueur des cories (partie sclérifiée des ailes antérieures). Le connexivum (bord de l’abdomen) porte des taches noires triangulaires sur chaque segment. Les angles antérieurs du scutellum sont soulignés de lignes blanches allongées moins longues que le tiers de la longueur du scutellum.
Détermination : Moyennement difficile.
Espèces proches :
Plus sombre que les autres Neottiglossa elle s’en distingue par les taches noires triangulaires caractéristiques du connexivum, et la présence sur la face ventrale de l’abdomen d’une petite tache noir-bronzé centrale longitudinale.
Période d’observation :
Mai à septembre.
Biologie-éthologie :
Elle se nourrit sur des graminées non identifiées précisément mais associées à des milieux ensoleillés non arides où l'eau reste présente.
Biogéographie et écologie :
Espèce méditerranéenne, atteignant le Caucase vers l’est, et la Tunisie au sud. Elle remonte dans l’étage supraméditerranéen jusqu'à 1 100 m d'altitude. Dans les milieux herbeux sablonneux chauds et humides : pelouses steppiques des causses calcaires, prairies rocailleuses, garrigues, souvent proches de ruisseaux ou de sources. Elle évite les zones salées, mais on la rencontre près des côtes en arrière-plage près de zones humides. Peu commune dans son biotope, de plus en plus rare au nord de l’aire méditerranéenne, rarissime ailleurs.
Diagnose :
Petite punaise foncée et brunâtre à la tête aussi longue que large recourbée en avant. Antennes dont l’article II dépasse l’apex du clypéus (nez). Une fine ligne longitudinale centrale plus claire traverse le pronotum et s’étend sur le scutellum, mais n’est pas ceinturée de noir. Une tache noire diffuse est présente à l’extrémité de son scutellum. Scutellum qui ne dépasse pas la longueur des cories (partie sclérifiée des ailes antérieures). Le connexivum (bord de l’abdomen) porte des taches noires triangulaires sur chaque segment. Les angles antérieurs du scutellum sont soulignés de lignes blanches allongées moins longues que le tiers de la longueur du scutellum.
Détermination : Moyennement difficile.
Espèces proches :
Plus sombre que les autres Neottiglossa elle s’en distingue par les taches noires triangulaires caractéristiques du connexivum, et la présence sur la face ventrale de l’abdomen d’une petite tache noir-bronzé centrale longitudinale.
Période d’observation :
Mai à septembre.
Biologie-éthologie :
Elle se nourrit sur des graminées non identifiées précisément mais associées à des milieux ensoleillés non arides où l'eau reste présente.
Biogéographie et écologie :
Espèce méditerranéenne, atteignant le Caucase vers l’est, et la Tunisie au sud. Elle remonte dans l’étage supraméditerranéen jusqu'à 1 100 m d'altitude. Dans les milieux herbeux sablonneux chauds et humides : pelouses steppiques des causses calcaires, prairies rocailleuses, garrigues, souvent proches de ruisseaux ou de sources. Elle évite les zones salées, mais on la rencontre près des côtes en arrière-plage près de zones humides. Peu commune dans son biotope, de plus en plus rare au nord de l’aire méditerranéenne, rarissime ailleurs.
Non renseigné pour le moment
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Pentatoma lineolata Mulsant & Rey, 1852