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- 180 observations
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6
communes -
66
observateurs -
Première observation
1995 -
Dernière observation
2022
Azens Jean-françois
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Bareyre Thomas
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Bastide Nicolas
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Bazin Nicolas
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Bodin Charlie
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Boswarthick Ryan
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Bouvin Laurent
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Brun Luc
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Cartalade Damien
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Cohez Damien
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Crégu Alexandre
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Davin Michel
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De Ferrière Paul
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Deffarges Joss
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Dhermain Frank
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Ducrotoy Mathis
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Dupraz Franck
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Fabrice Jullien
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Falke Claude
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Fayot Mathilde
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Fiorentino Marion
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Flitti Amine
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Flitti Aubin
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Fonters Rémi
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Foucqueteau Christian
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Franc Emmanuel
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Freychet Didier
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Gauthier-clerc Michel
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Giffon Pierre
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Godefroid Catherine
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Guitard Jean-jacques
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Gunther Michel
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Hallot Vincent
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Höhener Patrick
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Jacotot Gil
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Jardin Jean-luc
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Jouvenez Gaëtan
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Juniot Baptiste
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Kayser Yves
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Lallemant Jean-jacques
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Louvel Thiery
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Lpo Paca (archives)
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Marchas Anaël
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Martinez Nicolas
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Meriotte Sophie
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Monchaux Geoffrey
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Morel Christophe
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Mourier David
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Nawala Philippe
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Oakes Robin
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Palomares Vincent
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Peignot Cédric
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Pelissier Robert
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Pernin Charly
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Piolain Julien
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Rey David
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Riviere Thibaut
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Roguet Véronique
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Rolland Robin
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Roy Yves
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Soldi Olivier
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Talhoët Samuel
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Tcheng Emmanuel
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Thibault Marc
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Vissyrias Nicolas
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Vuillermet Vincent
Informations espèce
Taille/poids.
Description.
Détermination.
Espèces proches.
Période d’observation
Observable toute l’année.
Biologie-éthologie
Biogéographie et écologie
Pour plus de détails sur cette menace :
http://www.oncfs.gouv.fr/La-lutte-contre-les-especes-exotiques-envahissantes-ru152/LErismature-rousse-ar283
T 35 à 43 cm ; envergure 53 à 62 cm.
P 500 à 600 g (le mâle un peu plus lourd que la femelle peut parfois dépasser les 700 g)
P 500 à 600 g (le mâle un peu plus lourd que la femelle peut parfois dépasser les 700 g)
Description.
Le nom scientifique des érismatures (Oxyura) signifie à queue rigide : ces oiseaux se reconnaissent facilement à l’angle formé par leur queue lorsqu’ils nagent, celle-ci étant parfois tenue presque verticalement. L’Érismature rousse est un petit canard plongeur d’origine américaine. Le mâle en plumage nuptial se reconnaît facilement à son plumage roux vif, sa joue blanche surmontée d’une calotte sombre et son bec bleuté. En plumage d’éclipse, le contraste entre la joue et la calotte est atténué, et le plumage roussâtre se rapproche alors de celui de la femelle, plus terne.
Détermination.
La détermination ne pose aucun problème sur le continent américain (l’espèce a été notée à Saint Pierre et Miquelon où elle est cependant exceptionnelle) de même qu’aux Antilles (les possibilités de confusion avec l’Érismature routoutou ou Canard masqué, de taille plus faible, étant limitées). Il faut être un peu plus vigilant dans les territoires d’occurrence de l’Érismature à tête blanche (France et Europe méridionale).
Espèces proches.
L’Érismature à tête blanche est de taille plus importante (43-48 cm) et se distingue surtout par un net renflement à la base du bec.
Période d’observation
Observable toute l’année.
Biologie-éthologie
Cette espèce est associée aux étangs d’eau douce de faible profondeur, comportant de la végétation flottante. Omnivore, elle se nourrit de végétaux, de larves d’insectes.
Biogéographie et écologie
L’Érismature rousse se reproduit dans la partie occidentale de l’Amérique du Nord, depuis l’Alaska et le Canada jusqu’à la Basse-Californie et le Centre du Mexique. L’aire de reproduction inclut également la région des Grands Lacs et, beaucoup plus au sud, les Antilles, où l’espèce est sédentaire. L’aire d’hivernage s’étend du sud-ouest de la Colombie britannique jusqu’au sud des États-unis d’Amérique (Est compris : Floride, golfe du Mexique) et au Salvador. Introduite en Europe (à l’origine en Angleterre), elle représente une menace pour la survie d’une espèce européenne proche, la très rare Érismature à tête blanche.
Pour plus de détails sur cette menace :
http://www.oncfs.gouv.fr/La-lutte-contre-les-especes-exotiques-envahissantes-ru152/LErismature-rousse-ar283
Non renseigné pour le moment
Non renseigné pour le moment
Anas jamaicensis Gmelin, 1789
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Oxyura jamaicensis jamaicensis (Gmelin, 1789)