Carpocoris purpureipennis (De Geer, 1773)
Classe :
Hexapoda
Ordre :
Hemiptera
Famille :
Pentatomidae
Sous-Famille :
Pentatominae
Tribu :
Carpocorini
Genre :
Carpocoris
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- 1 observation
-
1
commune -
1
observateur -
Première observation
2024 -
Dernière observation
2024
Dumont Nicolas
Informations espèce
Taille : 10 – 13,5 mm
Diagnose :
Punaise dont la couleur varie du jaunâtre, au brunâtre, au rougeâtre et à l’orangé. Les angles huméraux de son pronotum sont légèrement aigus et marqués chacun d’une tache noire étendue le long du bord antéro-latéral. Son abdomen est moins large que le pronotum. Ses articles antennaires III sont plus courts que les II et les articles II à V sont noirs. Les bords latéraux du scutellum sont droits et non marqués par une échancrure profonde au milieu.
Détermination : Moyennement difficile.
Espèces proches :
Cette espèce ressemble beaucoup à Carpocoris pudicus dont elle se distingue par la forme de ses angles huméraux du pronotum plus aigus, et les bords latéraux du scutellum dépourvus d’encoche profonde.
Période d’observation :
Fin avril à octobre, avec un pic important en juillet.
Biologie-éthologie :
Espèce polyphage qui se nourrit sur de nombreuses familles végétales, dont des Asteracées comme les cirses, des crucifères, des ombellifères et des graminées.
Biogéographie et écologie :
Espèce eurosibérienne répandue dans toute l’Eurasie non méditerranéenne, atteignant 60° de latitude nord en Scandinavie. Dans une grande variété d’habitats secs ou humides jusqu’à 1 900 m d’altitude, ensoleillés ou semi-ombragés, herbacés ou arborés : boisements clairs, prairies bocagères, landes, friches, rocailles, pelouses sur coteau, secteurs délaissés des bords de routes et des chemins, marais, zones humides, bords de rivières, cultures, jardins. En montagne, on la rencontre dans les éboulis, le bord des chemins, les prairies fleuries et les pinèdes claires. C’est une espèce commune mais devenant très rare et localisée en zone méditerranéenne, et complètement absente le long du littoral de cette dernière.
Diagnose :
Punaise dont la couleur varie du jaunâtre, au brunâtre, au rougeâtre et à l’orangé. Les angles huméraux de son pronotum sont légèrement aigus et marqués chacun d’une tache noire étendue le long du bord antéro-latéral. Son abdomen est moins large que le pronotum. Ses articles antennaires III sont plus courts que les II et les articles II à V sont noirs. Les bords latéraux du scutellum sont droits et non marqués par une échancrure profonde au milieu.
Détermination : Moyennement difficile.
Espèces proches :
Cette espèce ressemble beaucoup à Carpocoris pudicus dont elle se distingue par la forme de ses angles huméraux du pronotum plus aigus, et les bords latéraux du scutellum dépourvus d’encoche profonde.
Période d’observation :
Fin avril à octobre, avec un pic important en juillet.
Biologie-éthologie :
Espèce polyphage qui se nourrit sur de nombreuses familles végétales, dont des Asteracées comme les cirses, des crucifères, des ombellifères et des graminées.
Biogéographie et écologie :
Espèce eurosibérienne répandue dans toute l’Eurasie non méditerranéenne, atteignant 60° de latitude nord en Scandinavie. Dans une grande variété d’habitats secs ou humides jusqu’à 1 900 m d’altitude, ensoleillés ou semi-ombragés, herbacés ou arborés : boisements clairs, prairies bocagères, landes, friches, rocailles, pelouses sur coteau, secteurs délaissés des bords de routes et des chemins, marais, zones humides, bords de rivières, cultures, jardins. En montagne, on la rencontre dans les éboulis, le bord des chemins, les prairies fleuries et les pinèdes claires. C’est une espèce commune mais devenant très rare et localisée en zone méditerranéenne, et complètement absente le long du littoral de cette dernière.
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Cimex purpureipennis De Geer, 1773