Monarque (Le)
Danaus plexippus (Linnaeus, 1758)
Classe :
Hexapoda
Ordre :
Lepidoptera
Famille :
Nymphalidae
Sous-Famille :
Danainae
Tribu :
Danaini
Genre :
Danaus
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- 4 observations
-
3
communes -
4
observateurs -
Première observation
2019 -
Dernière observation
2024
Bastide Nicolas
-
D'accunto Andrea
-
Devaud Jean François
-
March Dylan
Informations espèce
Taille :
Envergure du papillon : 70 à 100 mm
Diagnose :
Ce grand papillon se distingue par les bordures du dessus des ailes noires, ponctuées de points blancs. L’intérieur est orange vif, les nervures sont surlignées de noir. Le dessous des ailes reproduit ce dessin, en bien plus pâle. Le thorax est lui aussi noir, pointillé de blanc. Les pattes antérieures ne sont pas adaptées à la marche.
Détermination :
Simple
Espèces proches :
Cette espèce ne peut être confondue avec d'autres espèces aux Antilles.
Période d’observation :
Aux Antilles, ce papillon est visible toute l'année.
Biologie-éthologie :
La femelle pond des œufs isolés sous les feuilles de ses plantes-hôtes, principalement Asclepias curassavica. Les chenilles en consomment feuilles, tiges, fleurs et fruits et grossissent jusqu’à atteindre 7 cm. Elles sont alors annelées noires et jaunes, avec deux filaments noirs en fin d’abdomen et deux autres bien plus longs derrière la tête. La chrysalide suspendue est assez lisse, verte avec une couronne de points dorés, se colorant à l’approche du terme, une dizaine de jours plus tard. Les chenilles sont toxiques, ce qui diminue très fortement les risques de prédation et de parasitage. En vol, ce splendide et gracieux voilier n’hésite pas à planer. Il est en revanche plus gauche une fois posé.
Biogéographie et écologie :
Originaire d’Amérique du Nord, d’où il effectue ses célèbres migrations entre le Canada et le Mexique, il fréquente les Antilles et atteint parfois l’Australie, la Nouvelle-Zélande, la Réunion et même l’ouest de l’Europe. Aux Antilles, l’espèce est présente de manière localisée dans les zones où pousse sa plante-hôte, notamment sur le pourtour littoral, dans les prairies sèches et les zones périurbaines et agricoles. L’instinct migratoire de l’espèce semble à l’origine des populations locales, certains individus s’étant sédentarisés lors de leur passage sur les îles, et les populations migratrices continuent d’enrichir ces dernières par des apports saisonniers.
D'après :
David, G. & Lucas, P.-D. 2017. Atlas des papillons de jour de la Martinique. Association Martinique Entomologie : 139 pages, non publié, disponible sur http://www.association-martinique-entomologie.fr/
Brévignon, L. & Brévignon, C. 2003. A la découverte des papillons de jour des Antilles françaises. PLB éditions. 64 pp.
Envergure du papillon : 70 à 100 mm
Diagnose :
Ce grand papillon se distingue par les bordures du dessus des ailes noires, ponctuées de points blancs. L’intérieur est orange vif, les nervures sont surlignées de noir. Le dessous des ailes reproduit ce dessin, en bien plus pâle. Le thorax est lui aussi noir, pointillé de blanc. Les pattes antérieures ne sont pas adaptées à la marche.
Détermination :
Simple
Espèces proches :
Cette espèce ne peut être confondue avec d'autres espèces aux Antilles.
Période d’observation :
Aux Antilles, ce papillon est visible toute l'année.
Biologie-éthologie :
La femelle pond des œufs isolés sous les feuilles de ses plantes-hôtes, principalement Asclepias curassavica. Les chenilles en consomment feuilles, tiges, fleurs et fruits et grossissent jusqu’à atteindre 7 cm. Elles sont alors annelées noires et jaunes, avec deux filaments noirs en fin d’abdomen et deux autres bien plus longs derrière la tête. La chrysalide suspendue est assez lisse, verte avec une couronne de points dorés, se colorant à l’approche du terme, une dizaine de jours plus tard. Les chenilles sont toxiques, ce qui diminue très fortement les risques de prédation et de parasitage. En vol, ce splendide et gracieux voilier n’hésite pas à planer. Il est en revanche plus gauche une fois posé.
Biogéographie et écologie :
Originaire d’Amérique du Nord, d’où il effectue ses célèbres migrations entre le Canada et le Mexique, il fréquente les Antilles et atteint parfois l’Australie, la Nouvelle-Zélande, la Réunion et même l’ouest de l’Europe. Aux Antilles, l’espèce est présente de manière localisée dans les zones où pousse sa plante-hôte, notamment sur le pourtour littoral, dans les prairies sèches et les zones périurbaines et agricoles. L’instinct migratoire de l’espèce semble à l’origine des populations locales, certains individus s’étant sédentarisés lors de leur passage sur les îles, et les populations migratrices continuent d’enrichir ces dernières par des apports saisonniers.
D'après :
David, G. & Lucas, P.-D. 2017. Atlas des papillons de jour de la Martinique. Association Martinique Entomologie : 139 pages, non publié, disponible sur http://www.association-martinique-entomologie.fr/
Brévignon, L. & Brévignon, C. 2003. A la découverte des papillons de jour des Antilles françaises. PLB éditions. 64 pp.
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Papilio plexippus Linnaeus, 1758